Presse

« (…) Dans un décor d’agora, un hémicycle où chacun a sa place et existe, la parole circule de l’un à l’autre, chacun peut s’exprimer et dire qui il est sans baisser les yeux. Chacun vient nous regarder en face et s’adresser à nous sans détour. Comme une page blanche, la scénographie fait ressortir les couleurs des costumes aux dominantes pastel, reflets de la douceur du regard de la metteuse en scène à leur égard. A l’image de ceux qui les habitent, ils miroitent sous la boule à facette qui s’y projette. (…) »

Scène Web – Marie Plantin – 05.10.22
Pour Personne…Article complet

« (…) Aux ballets des mots répond celui des corps dans une scénographie de verre où se conjuguent des effets de couleurs et de transparence. Derrière une des parois, la silhouette de la violoniste Viviane Hélary ondoie sur une pulsation rock. Touche ultime d’un spectacle total à la lumière sombre et ensorcelante. »

La Croix – Marie – Valentine Chaudon – 15.01.22
Pour Danse « Delhi »Article complet

« (…) Cette musique, composition originale de Viviane Hélary, violoniste et multi instrumentiste, qui la joue en direct, chantant parfois, tient une place très importante dans la représentation, ainsi que le son de Léo Rossi-Roth. Tout comme les lumières de Benoît Laurent, jouant sur les parois translucides de l’espace imaginé par Margot Clavières. (…) »

Le Journal d’Armelle Héliot – 21.10.21
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« La pièce, qui avait été mise en scène par Galin Stoev au Théâtre de la Colline il y a dix ans, est toujours aussi forte. Cela se passe- (chapeau au passage à Margot Clavières, la scénographe) dans la sinistre petite salle d’attente d’un hôpital avec quelques sièges en série séparés d’un couloir par une cloison en plastique ondulé orange…  Que nous avons tous connu à un moment ou un autre de notre vie… Le minimum pour attendre, encore attendre et en général du pas gai du tout. (…) »

Théâtre du blog – Philippe du Vignal – 20.10.21
Pour Danse « Delhi »Article complet

« (…) Les parois translucides des bureaux du personnel hospitalier s’éclairent des lumières aux couleurs changeantes d’une boite de nuit et un ballet de chaises et de plantes vertes suffit à renouveler le décor. (…) »

Les Inrockuptibles – Patrick Sourd – 07.04.21
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« (…) Un spectacle qui s’arrime à tous les attributs dont le théâtre est le maître : création d’images, jeu d’acteur, prégnance du texte et présence musicale. Les boîtes à images s’encastrent sur le plateau – niche, Frigidaire, caverne de Platon – comme autant d’aires de jeu pour les acteurs dont les images filmées sont projetées sur des écrans, mêlées à un pot-pourri de visions féeriques, naturelles ou extraites de jeux vidéo. (…) »

Les Inrockuptibles – Fabienne Arvers – 16.02.18
Pour L’Âme Humaine…Article complet